Je les vois très bien et dans l'atelier, personne ne m'accable, me juge ou en profite. Dans le silence, heure après heure, je souligne les beautés, les lumières et j'enlève l'inutile. Je retrouve la puissance des premiers instants tout en sachant que la prochaine fois, j'essayerais à nouveau de combattre mon pire ennemi, cet homme qui ne me quitte jamais et qui pense trop.
Et peut-être qu'un jour, en plus de pouvoir les corriger, j'arriverais à me les pardonner.